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La cuisine est un plaisir ou un besoin ?

28 mai 2010

fichier oral

Voici-ci après, la parti orale du blog
La_cuisine_en_France

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12 mai 2010

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Responsabilité éditoriale : Guillaume Binot

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12 mai 2010

bibliographie

Texte :

Eric Briffard-La grande Epoque [en ligne]-Disponible sur www.lagrandeepoque.com (consulté le 19 mars 2010)
Pierre Yves GUIHENEUF-France : La faim malgré la surabondance [en ligne]-Disponible sur http://base.d-p-h.info/fr/fiches/premierdph/fiche-premierdph-4342.html
Auteur inconnu-Sel france [en ligne]-Disponible sur http://www.selfrance.org/index.php?id=31
Matty Chiva-Le mangeur ocha [en ligne]-Disponible sur http://www.lemangeur-ocha.com/fileadmin/images/sciences_humaines/04_approche_psycho_plaisir.pdf
Matty Chiva-Le mangeur ocha [en ligne]-Disponible sur http://www.lemangeur-ocha.com/fileadmin/images/sciences_humaines/04_approche_psycho_plaisir.pdf

Image :

auteur inconnue-citizen zoo [en ligne]-Disponible sur http://citizenzoo.wordpress.com/2009/03/01/soudan-1993-la-famine-sevit/
auteur inconnu-isantenews-[en ligne]Disponible sur http://www.isantenews.info/images/autres_presses/25-08-2009-05-18obesite.jpg
auteur inconnu-marmiton-[en ligne] Disponible sur http://www.marmiton.org/recettes/recette_donuts-usa_11094.aspx
auteur inconnu-go anonce-[en ligne]-Disponible sur http://www.go-annonces.com/photo_1_15717_0-cours-de-cuisine-chinoise-a-domicile.jpg
auteur inconnu-delicepizza-[en ligne]-Disponible sur http://www.delicepizza.com/images/pizza.jpg
auteur inconnu-drloft.tv-[en ligne]-Disponible surhttp://drloft.tv/loft-story/wp-content/uploads/2008/10/spaghetti.jpg

12 mai 2010

conclusion

La cuisine par définition est un plaisir. Mais dans la réalité, elle est parfois simplement un besoin comme par exemple dans les pays désertiques où la moindre portion de nourriture est importante car très rare !

Au contraire dans les pays riches, la cuisine peut être un plaisir avec la cuisine raffinée mais pas forcément comme par exemple lors d'un repas rapide où pour les gens ayant peu de moyens qui mange que des produits discounts et donc de très mauvaise qualité.

Donc la cuisine est en fonctions du pays, du niveau sociale de la personnes, plus ou moins un plaisir mais est généralement un besoin cela dépend si la personne mange alors qu'elle vient de manger où si elle n'a plus mangé depuis une semaine.

10 mai 2010

Les plats mondialisés

La cuisine américaine

La cuisine américaine est très riche. elle utilise beaucoup d'élément gras, riches et sucré comme par exemple les donuts, qui sont composés de beurre, d'huile végétale et de sucre !
donuts
source : http://www.marmiton.org/recettes/recette_donuts-usa_11094.aspx
De même pour les hamburger.
hamburger
Ils sont aussi trop gras, salé et sucré.  Il ne faut manger de ses aliments qu' occasionnellement.

Même si cette cuisine est trop riche, est rependue dans le monde entier avec les firmes internationales.

La cuisine chinoise

Cette cuisine est rependu dans le monde entier. Elle a commencé à être connue en Europe par Marco Polo au XIIIe siècle.
Puis avec la mondialisation dans les année 60, elle s'est rependu de partout dans le monde.

photo_1_15717_0_cours_de_cuisine_chinoise_a_domicile
source : http://www.go-annonces.com/photo_1_15717_0-cours-de-cuisine-chinoise-a-domicile.jpg
De nos jour cette cuisine peut être consommée dans des restaurants chinois, à emporter (généralement vendue dans des camionnette) ou de façon plus industrielle vendue dans les grandes surface.

La cuisine italienne

Cette cuisine est caractérisé par les pizza  et les pâtesqui se sont mondialisées et même pour être modifié à l'américaine en ce qui concerne la pizza donnant un nouveau produit.
spaghetti                                               pizza

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9 mai 2010

Expérience scientifique sur le plaisir

Le rôle du plaisir comme moteur de conduites alimentaires

Cette question est éclairée notamment par les travaux de Cabanac (1985,1992). Ainsi dans deux expériences désormais classiques il place des animaux de laboratoire, des rats en l'occurrence, dans une situation de conflit et les oblige à arbitrer entre le confort thermique d'une part et l’attractivité (la palatabilité) des aliments prposés, d'autre part. Deux
manipulations ont été ainsi faites :
Dans la première, les rats disposaient d'une maison chauffée à 25,5°, elle même placée dans une chambre climatique dont la température était de -15°. La nourriture était située, soit à l’intérieur de leur maison, soit au dehors, à 1 mètre de la maison chaude. La nourriture elle même pouvait être standard de laboratoire, améliorée ou encore ce que l’on désigne sous le
nom de « cafétéria », c’est-à-dire variée et appétissante. Pour comprendre l’intérêt de cette expérience, il faut savoir :
- Que les rats n’aiment pas les températures basses et détestent le froid,
- Que la vitesse d’ingestion varie en fonction du plaisir apporté par les aliments.
Cette expérience met en évidence deux séries de faits :
- D'une part, les rats ont raccourci de façon drastique leur séjour pour manger à l'extérieur de la maison chauffée, le réduisant à un tiers à peine du temps passé pour la même activité à l’intérieur ;
- D'autre part, lorsqu’ils étaient dans le froid, les animaux ont compensé la réduction du temps de séjour en accélérant leur ingestion. En fait, tout en réduisant autant que possible leur séjour dans le froid, les animaux ingurgitaient à ce moment là pratiquement le double en situation de « cafétéria ».
Lors de la seconde expérience on a en quelque sorte testé le “ prix ” que les animaux étaient prêts à payer pour le plaisir. La situation expérimentale est assez semblable à la première expérience. Les rats disposaient d'une maison chauffée à 25,5°, placée dans une chambre climatique où la température était de -15°. Mais, cette fois, ils disposaient simultanément de
deux sources de nourriture : dans leur maison d'une part et, d'autre part au dehors, mais située à 16 mètres de leur maison. Ainsi, dans le second cas, l’inconfort thermique était bien plus grand et demandait une motivation forte chez l’animal pour l’affronter.
lemangeur-ocha.com Chiva, Matty. Emotions et pratiques alimentaires. Approches psychophysiologiques du plaisir.
On observe dans cette situation que, plus la nourriture est palatable, plus les rats sortent
surtout pour en consommer. Il ne s'agit pas dans ce cas de besoin, car la nourriture
disponible dans leur maison est à la fois abondante et disponible sans le désagrément
thermique. Dans ce cas, la tactique adoptée par les rats est celle de la recherche d'un plaisir
sensoriel, plaisir dont le coût peut être estimé en fonction des plaisirs et déplaisirs évoqués
par les diverses modalités sensorielles (en l’occurrence, le déplaisir causé par le froid) : bien
qu'il s'agisse d'animaux, nous ne sommes pas si loin ici de l' « arithmétique des plaisirs»
évoquée par Bentham.
En menant par la suite ce type d’expériences, selon le même modèle, mais adapté pour des
populations humaines et avec diverses stimulations (alimentaires ou non alimentaires),
l’auteur obtient le même type de résultats. En comparant la balance plaisir - déplaisir et son
coût, il constate la convergence des données et conclut sur le fait que le plaisir est la
monnaie commune des motivations dans les deux cas. Ces données, issues de
l'expérimentation animale et humaine, introduisent de toute évidence la notion de plaisir
comme un des moteurs des conduites alimentaires.

Extrait du document : http://www.lemangeur-ocha.com/fileadmin/images/sciences_humaines/04_approche_psycho_plaisir.pdf

En résumé, il y a 2 expériences avec des rats où on leur donnent de la nourriture dans un lieu très froid. Ces expériences signifient que les rats peuvent modifient leurs habitudes en ingurgitant plus rapidement les aliments et surtout, quand les aliments sont délicieux, ils les ingurgitent 2 fois plus rapidement. Ce qui veut dire que la notion de plaisir gustatif peut nous inciter à manger plus et plus rapidement.

C'est ainsi que les fast food avec leurs hamburgers riches en aliments gras, sucrés et salé, incitent les consommateur à manger en grosse quantité et à venir régulièrement.

L'autre expérience démontre clairement que le plaisir est ce qui nous pousse à acheter tel ou tel aliment pour rechercher cette notion de plaisir.

L'obésité peut se développer justement en ne mangeant que des aliments qui nous font plaisir et en grande quantité

25_08_2009_05_18obesite

source : http://www.isantenews.info/images/autres_presses/25-08-2009-05-18obesite.jpg

Cette homme doit faire le double du poids conseillé par les nutritionnistes sans doute parcequ'il a mangé tant qu'il en avait envie. Le plaisir doit s'arrêter quand la santé entre en jeu parque cet homme doit avoir  de grave problème de santé et on doit se se moquer de lui ou du moins le ragarder bizzarement.
C'est pourquoi le palisir n'est pas forcément une bonne chose. Il faut manger le plus équilibrer possible avec parfois des plats qui nous font moins envie que d'autre et surtout ne pas manger que des aliments avec une grosse concentration soit de sel soit de gras soit de sucre.

8 mai 2010

L'approche psychophysiologique

Extrait de "Approches psychophysiologiques du plaisir" :

L'intensité et la spécificité de cette tonalité affective sont exceptionnelles dans le système sensoriel. L'agrément ou le désagrément d'un bruit, d'une couleur, ne représentent que des tonalités affectives essentiellement variables que toutes sortes de facteurs psychologiques peuvent venir modifier. Elles restent faibles si on les compare avec l'agrément d'une saveur
comme le sucré, et surtout avec la répugnance, le «dégoût » allant jusqu'au vomissement que provoquent des solutions concentrées amères, salées ou acides. La qualité affective est ici étroitement liée au fonctionnement de l'appareil sensoriel. C'est une véritable qualité spécifique de la sensation.

Ce texte dit que certains goût sont attirant et que ces aliments là, on pourrait en manger des quantités astronomiques et d'autre au contraire sont répugnant et peuvent aller jusqu'à nous faire vomir.

http://www.lemangeur-ocha.com/fileadmin/images/sciences_humaines/04_approche_psycho_plaisir.pdf

Le paragraphe qui s'intitule le rôle du plaisir comme moteur de conduites alimentaires

Ce texte signifie que le plaisir est vraiment très important pour tout être vivant ; même au point d'avoir très froid pour avoir en récompense un bon goût, un plaisir gustatif.

7 mai 2010

La faim dans le monde

sudan_famine_6

Source : http://citizenzoo.wordpress.com/2009/03/01/soudan-1993-la-famine-sevit/

Après l'obésité dû au plaisir ; la famine qui est le contraire. L'enfant sur cette photo doit souffrir horriblement. Il voufrait bien avoir ne serait-ce qu'un quart de l'homme dans l'article précédent. Les inégalités dans le monde sont énorme.La famine encore largement présente dans le monde. Chaque jour, 25 000 personnes meurt de faim alors que les pays développés gaspillent 40% de leurs ressources alimentaires. Cette nourriture pourrait éviter de voir des enfants comme sur la photo ci-dessus !

On peut voir sur cette photo que le besoin de manger est si fort pour cet enfant que la notion de plaisir dans les pays riches relève du superflu si on la compare à cette image.

source : http://www.selfrance.org/index.php?id=31


19 mars 2010

La faim en France

Trois millions de personnes en situation de grande pauvreté, deux millions ayant recours à l’aide alimentaire, 1 600 000 personnes concernées par le Revenu Minimum d’Insertion, 250 000 exploitations agricoles supprimées sur six ans, 20 000 agriculteurs allocataires du RMI... Ces données alarmantes ne reflètent pourtant en rien la bonne santé économique de l’agriculture française qui affiche un excédent commercial de 47 milliards de francs (données 1994). Avec 21,3 % de la production agricole européenne et grâce à 5 % de sa population active (910 000 exploitants et ouvriers agricoles), la France est la première puissance agricole de l’Europe des quinze.

source :http://base.d-p-h.info/fr/fiches/premierdph/fiche-premierdph-4342.html

Ce texte montre des chiffres alarmant, et que la France compte un nombre gigantesque de pauvre et de gens aillant besoin de l'aide alimentaire. Il ne faut pas nécessairement aller dans les pays sous développé pour qu'il y ait des pauvres.

19 mars 2010

La haute cuisine

Extrait du site : www.lagrandeepoque.com

Quel lien faites-vous entre les traditions, le terroir de vos racines bourguignonnes et la cuisine moderne d’aujourd’hui?

Eric Briffard : La mémoire de ces traditions et de ce terroir est quelque chose qui me tient particulièrement à cœur quand je prépare des plats. J’ai souvent l’habitude de dire en cuisine que je viens du monde paysan. J’avais des grands-parents agriculteurs qui possédaient une grande ferme. Grâce à cela, j’ai gardé le contact avec cette culture ancestrale de la cuisine, culture qui s’est malheureusement perdue aujourd’hui. A leur époque, l’année était rythmée par les solstices d’hiver et d’été, à l’occasion desquels on faisait de grands repas familiaux, avec les amis et les voisins du village, réunissant pas moins d’une centaine de personnes dans la cour de la ferme. Bien que mes grands-parents étaient modestes, ils avaient une culture ancrée dans le partage et la convivialité en organisant ces grandes fêtes. En vieillissant, j’ai compris l’importance de cet héritage culturel que j’avais connu étant enfant.

C’était un monde différent du monde d’aujourd’hui, au niveau du rythme et des méthodes de travail. On ne mangeait de la viande que deux fois par semaine, on mangeait beaucoup de légumes venant directement de la ferme car c’était moins cher. J’ai toujours gardé en souvenir de cette époque la puissance des saveurs : le jaune d’œuf, le potage de légumes, etc. C’est aujourd’hui ce qui me fait défendre cette tradition de la cuisine française. J’ai beaucoup voyagé dans le monde et expérimenté des cuisines différentes, mais je ne veux pas perdre ces origines que j’ai eu la chance de connaître. Quand je vais manger de la cuisine chinoise, je suis content de manger une cuisine qui est au plus près de ses vraies racines. Il y a toujours une origine très forte à chaque produit et à chaque façon de faire la cuisine.

Eric Briffard aime la cuisine authentique et traditionnelle car enfant il manger la cuisine de la ferme de ses grands-parents avec des produits frais qui venaient d'être cueillis et donc qui avait une autre saveur que les fruits et légumes que l'ont trouvent dans les grandes surfaces qui sont depuis 4 mois en chambre froide.

Aujourd'hui, on revient à ce type de produits avec notamment les AMAP ou encore avec les produits issue d'agriculture biologique (label AB). Bref, nous retournons à une agriculture de qualité comme il y avaient en France jusqu'aux années 1960.

J'ai choisi de prendre ce texte car il explique qu'avant, la qualité des aliments étaient supérieur à aujourd'hui et donc le plaisir gustatif y est altérer.

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La cuisine est un plaisir ou un besoin ?
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